Que l’on soit employeur ou salarié, il peut arriver qu’on sente le besoin de mettre fin à une collaboration professionnelle. S’il en est ainsi pour vous, commencez d’abord par notifier à la partie d’en face votre souhait à travers une lettre de rupture. Découvrez ici comment rédiger votre lettre de rupture dans le cadre d’un CDI ?
Quand et à qui adresser une lettre de rupture conventionnelle ?
Plusieurs circonstances peuvent vous amener à consulter sur ce site internet le contenu d’une lettre de rupture conventionnelle. Pour un employé, le besoin d’une rupture conventionnelle de CDI peut intervenir pour plusieurs raisons. Indignation, lassitude, insatisfaction, défaut de performance sont entre autres facteurs susceptible de motiver la rédaction d’une lettre de rupture par l’une ou l’autre des contractants. Dès que la décision est prise, écrivez votre lettre.
Quel doit être le contenu d’une lettre de rupture ?
Il est important de savoir que le contenu de la lettre de rupture d’un CDI n’est pas le même selon qu’il vienne de l’employé ou de l’employeur. En effet, pour un employé qui prend l’initiative de solliciter à l’employeur la rupture d’un CDI, tout commence par la présentation.
Retenez que la lettre de rupture de CDI commence naturellement avec la présentation de l’identité de son expéditeur ainsi que la date d’expédition. Vous pouvez déjà comprendre que l’en-tête ne diffère pas du format conventionnel en matière de correspondance administrative.
Dans le corps même de la lettre, vous gagnerez à éviter les phraséologies superflues. Dans un premier paragraphe bien concis, mentionnez clairement l’intitulé de votre poste que vous désirer bientôt quitter. Il est aussi utile de rappeler la date de votre entrée dans l’entreprise, et votre ancienneté à votre actuel poste. Si vous le souhaitez, vous pouvez éventuellement préciser les mobiles de votre décision.
Enfin, conformément à la convention collective ou autre disposition légale, le demandeur fixe dans un second paragraphe la durée du préavis. Notez qu’il s’agit ici d’une proposition négociable. Ce qui permet de fixer avec précision la date d’entrée en application effective de la rupture.